Dans la salle des pas perdus des aéroports et des gares, un vieil homme joue magnifiquement des œuvres de Ludwig Von Beethoven sur les pianos mis à disposition du public. Son audience patiente et s’arrête devant lui ; le lecteur en perçoit toutes les vibrations. Qu’attend-il ? une vague de souvenirs le ramenant à son enfance auprès de sa famille, son maître de piano, ou la rudesse d’une vie qui soudain bascule dans l’horreur d’un orphelinat, « les confins », dirigé d’une main leste par des « diables » en soutane ?
Entrer dans cette histoire d’orphelins, c’est aussi entrer dans une histoire d’amour portée par la musique que le lecteur imagine et qui sera interprétée par les élèves du conservatoire Francis-Poulenc, pour une bande originale imaginaire du roman, en présence de Jean-Baptiste Andréa.